Une mise en œuvre en deux phases
Le déploiement des caméras s’effectue en plusieurs étapes. Dans un premier temps le choix s’est porté sur la surveillance des axes routiers stratégiques permettant l’accès à la commune, principalement la RN 249. D’ici la fin du premier semestre 2025, 21 caméras seront fonctionnelles.
Dans un second temps, les caméras seront installées aux entrées principales des communes déléguées. Ce complément de 29 dispositifs portera le total à 50 caméras, couvrant ainsi les points névralgiques du territoire.
Prévention et soutien aux forces de l’ordre
Ces installations visent plusieurs objectifs :
- diminuer et dissuader les incivilités et les faits de délinquance
- contribuer à la protection des lieux et bâtiments publics ainsi qu’aux activités commerciales, artisanales et industrielles
- assister la Gendarmerie dans l’identification des auteurs d’actes malveillants grâce aux enregistrements.
En filmant les voies publiques et les lieux accessibles à tous, ces dispositifs constituent un outil dissuasif et opérationnel.
Et l'accès aux images ?
Les images ne pourront être visionnées que par les personnes habilitées par la Préfecture et sur réquisition du procureur de la République dans le cadre d’une enquête diligentée par les forces de l’ordre.
Vidéoprotection et vidéosurveillance : quelle différence ?
La vidéoprotection concerne les lieux publics ou ouverts au public, principalement les rues.
En revanche, la vidéosurveillance s’applique aux lieux privés ou fermés.